AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Les professeurs, les garçons et les élèves pauvres sont à Privilégier.
-50%
Le deal à ne pas rater :
-50% Baskets Nike Air Huarache Runner
69.99 € 139.99 €
Voir le deal

Partagez|

INTRIGUE NUMERO UNE.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage

Le directeur
Le directeur

Copyright : Chaussette
Messages : 77
Points : 49
Avatar : Le directeur
Pseudo : Monsieur Le directeur
Âge : Tu me donnes quel âge ?
Surnom : Dirlo
Dortoir : Là ou tu ne peux pas aller
côté coeur : Marié
Date d'inscription : 21/11/2012


INTRIGUE NUMERO UNE. Vide
MessageSujet: INTRIGUE NUMERO UNE. INTRIGUE NUMERO UNE. EmptyVen 25 Jan - 21:40

Mais qui a mis le feu ?!





« Bonne année 2013 ! Que cette année vous soit encore meilleure que la précédente ! »

Le 25 janvier, jour des portes ouvertes d’Aster tous les élèves sont excités de cette soirée qui ne revient qu’une fois par année, c’est l’occasion rêvée de se mettre en valeur dans cette école déjà agréablement cotée dans le pays. Les visiteurs viennent de partout dans le pays et même d’autres continents pour se renseigner auprès des professeurs et des élèves et voir à quoi ressemble une école qui forme des Ladies et Butlers.

Pour l’occasion les élèves ont sortit leurs plus beaux vêtements des costards tout neufs pour nos majordomes et des robes à peine sorties des magasins des grands couturiers pour ces demoiselles. Mais il n’y a pas que ça ! Les Butlers ont aussi préparé une panoplie de gâteaux et biscuits pour nos visiteurs qui seront servis de thés et de cafés, telles des Ladies, tout au long de la soirée tandis que ces demoiselles leurs feront la visite de cette université hors du commun.

Oh qu’est-ce que cette odeur ? Est-ce qu’un majordome aurait oublié ses cookies au four ? Au feu les pompiers !



Vous l'aurez compris, le feu a été déclaré dans certains locaux d'Aster ! Qui est derrière tout cela ? Personne ne sait... Les riches pensent que c'est les pauvres, les pauvres pensent que c'est les riches ... Au final personne ne sait et ne saura... Mais pour cause. Il nous faudrait des petits plaisantins pour mettre le feu. (Vous ne serez pas puni personne ne trouvera le/les coupables INTRIGUE NUMERO UNE. 3371923627 si possible au moins... trois.

Pour vous inscrire à l'intrigue, on remplit le formulaire et on poste INTRIGUE NUMERO UNE. 4170629200
En vous inscrivant, vous vous engagez à poster une fois minimum par semaine pour ne pas bloquer les autres INTRIGUE NUMERO UNE. 4170629200 soyez tous mignon (a)



Revenir en haut Aller en bas
Butler riche

Daniel N. Clare
Daniel N. Clare

Copyright : me ; tumblr
Messages : 352
Points : 125
Avatar : Gaspard Ulliel
Pseudo : /
Âge : 20 ans
Dortoir : Appartement, 29 rue des Arts
Multinick : Non
Date d'inscription : 04/01/2013


INTRIGUE NUMERO UNE. Vide
MessageSujet: Re: INTRIGUE NUMERO UNE. INTRIGUE NUMERO UNE. EmptySam 26 Jan - 12:45


Portes ouvertes






Être bienvenue, c'est quand une personne vous accueille les bras ouverts
et que sur ses lèvres se dessine un sourire sincère




Bienvenue à Aster


Aujourd'hui c'est les portes ouvertes, je suis passé ce matin au pressing pour récupérer mon costard puis je suis parti dans mon établissement. Je m'étais changé là-bas dans les vestiaires -car bon j'avais pas trop envie de me promener dans mon costard dans la ville- puis je me mis à la confection de pâtisseries et biscuits que je réussissais à tous les coups -comme ça je suis sûr de ne rien rater et de ne pas empoisonné quelqu'un-. Je m'attelai le plus vite possible car apparemment les portes ouvertes commençaient dans pas si longtemps que ça et par chance je finis mes dernières pâtisseries pile dans les temps. Les ladies avaient commencé à guider les visiteurs à Aster, ce n’est plus qu’une question de minutes avant que les premiers visiteurs arrivent dans le salon de thé. Après avoir finis de tout mettre à sa place, je voulus sortir prendre un peu l’air, mais avant de franchir l’entrebâillement du salon de thé pour sortir je tombai nez à nez avec une mère et sa fille, comme j’étais le majordome le plus proche, elles m’adressèrent immédiatement la parole, adieu air du dehors !

Je souris et ne laissai rien paraître de mon agacement et les conduisis à une table où je leur servis le thé et leur proposai des accompagnements avec leur boisson chaude. La mère posait un tas de questions sur les pauses thé, les étudiants, les cours… Quand elle apprit que j’étudiais les langues étrangères et qu’apparemment sa fille partait dans la même filière, elle me demanda de dire plusieurs phrases en d’autres langues. En temps normal j’aurais esquivé cette demande, mais pour les portes ouvertes je fis l’effort de me plier à la requête de la visiteuse qui semblait ravis. Après ce petit « numéro », la fille –qui n’avait pas encore parlé jusque là- m’interrogea sur les professeurs que j’avais. Je lui parlai un peu de tous en racontant de temps en temps une anecdote qui m’est arrivé en cours, la jeune femme écouta avec attention ce que je lui disais et la fin me remercia pour mes explications.

La discussion continua encore un moment avec la mère qui reposa des questions un peu sur tout et rien concernant Aster et ses environs. Je répondis le mieux que je pouvais en valorisant le plus possible Aster, puis quand tout fut terminé je raccompagnai les deux visiteuses jusqu’à la sortie, elles me remercièrent encore une fois puis partirent. Je regardai autour de moi, d’autres majordomes s’occupaient à leur tour de visiteurs. J’allai débarrasser la table où j’avais installé les deux visiteuses. Il semblait avoir beaucoup de monde à ses portes ouvertes, les personnes venaient d'un peu partout d'après ce que j'avais pu entendre. Avec tout ce monde, la journée s’annonçait longue, oui, vraiment très longue…



HRPG : si quelque chose ne va pas, n'hésitez pas à le dire ^^

Revenir en haut Aller en bas
Professeur

Mégane V. Montgomery
Mégane V. Montgomery

INTRIGUE NUMERO UNE. Tumblr_lrwnzxLQXb1qbjvfco3_250
Copyright : Psychozee-> Bazzart
Messages : 248
Points : 134
Avatar : Leighton Meester
Pseudo : Titrus
Âge : 26 Ans
Surnom : Meg ou Val pour les intimes, Mme pour les élèves
Dortoir : Appartement
Multinick : Non
Date d'inscription : 04/01/2013


INTRIGUE NUMERO UNE. Vide
MessageSujet: Re: INTRIGUE NUMERO UNE. INTRIGUE NUMERO UNE. EmptySam 26 Jan - 20:20



♕ Portes ouvertes d'Aster

Mégane s'en souvenait comme si c'était hier. Les portes ouvertes d'Aster, elle était venue avec son père, jeune adolescente indisciplinée, elle avait tout d'abord détesté cette prestigieuse école pour finir par l'adorer et enfin, enseignait ici. Ce soir en tout cas, Meg n'irait pas faire la visite des salles en compagnie d'une lady qui lui expliquerait les valeurs d'Aster, non, ce soir, c'était opération vigilance. Les corps enseignants étaient présents, des heures supplémentaires qui dérangeaient ou pas les professeurs. Mégane n'avait rien d'autre de prévu donc, cela ne la déranger pas trop de rester ici mais, ce n'était bien évidemment pas le cas de tout le monde selon les soupirs exaspérés de sa collègue. C'était aux majordomes de préparaient les gâteaux, thés et cafés sous l'œil vigilant des deux professeurs de cuisines qui toutefois, n'étaient pas toujours derrière les majordomes. En effet, il fallait surveillez-les aller et venues des parents, des enfants, saluer, répondre aux questions en bref, faire attention que tout soit parfait. La perfection symbolisait Aster, autant les enseignants que les élèves ne pouvaient se permettre d'échouer. Les ladies faisaient visiter les salles, répondaient avec le sourire, de parfaites hôtesses. Pour l'instant, tout se déroulait bien mais, cela n’empêchait pas tout le monde d'être sous pression.

Car, il restait des exceptions c'était alors au corps enseignant se rappelait discrètement à la jeune fille ou au jeune homme qu'Aster c'était avant tout le sourire et la politesse. Aster était sous pression, les enseignants, les élèves mais, aussi le personnel qui avaient dû nettoyer à fond, faire attention aux plantes, avant l'ouverture des portes. Des réunions avaient eu lieu bien avant le jour J. En fait, l'université mettait en valeur ses élèves mais, derrière le rideau il y avait toute la partie production, administration qui était très discrète. C'est donc en spectatrice et vigile que travaillait Mégane qui pour l’occasion était vêtue d'une robe rouge et noire. Les enseignants étaient par groupes de matières mais, il arrivait qu'ils se mélangent de toute manière personne n'était là pour les surveiller eux. Tandis qu'elle discutait à voix basse avec la râleuse, un couple avec un jeune homme attira l'attention de Meg. Ils semblaient perdus et ne parlaient pas en anglais. En fait, il parlait italien, la jeune professeur partit à leur rencontre, les salua d'un beau sourire et après quelques explications, elle les emmena vers le salon de thé où ils furent pris en charge par un majordome. Mégane jeta un regard sur l'assemblée, que des visages souriants, heureusement ! Après avoir vérifié cela, la jeune femme rejoignit sa collègue pour reprendre sa discussion. L'une comme l'autre étaient d'accord sur un fait: cette soirée était stressante et commençait à devenir un peu longue. Surtout que les deux femmes étaient debout dans le hall, elles auraient donné n'importe quoi pour s'assoir dans les escaliers, prendre un thé et papotaient.
© Belzébuth
Revenir en haut Aller en bas
Lady pauvre

Avalon L. Warner
Avalon L. Warner

INTRIGUE NUMERO UNE. Tumblr_lsf22wK8Sp1r44iyio1_500

Nothing's ever perfect,
you know?

Copyright : Croco & tumblr
Messages : 82
Points : 48
Avatar : Kaya Scodelario
Pseudo : Celty_Insane
Âge : 20 ans
Surnom : Val, Ava ..
Dortoir : Appartement, 13 rue des Lauriers
Date d'inscription : 14/01/2013


INTRIGUE NUMERO UNE. Vide
MessageSujet: Re: INTRIGUE NUMERO UNE. INTRIGUE NUMERO UNE. EmptyDim 27 Jan - 21:42

Everyone
“ portes ouvertes ”



Quelles plaies, ces portes ouvertes. L'établissement demandait aux élèves d'Aster, riches et modestes, de participer à la soirée et d'accueillir les gens qui venaient visiter l'école. Il s'agissait d'une soirée mondaine, du point de vue d'Avalon et elle n'avait rien dans sa garde-robe qui ne soit assez raffiné pour ce genre d'évènement. Alors ce soir-là, elle portait une robe appartenant à sa mère et qui ne devait pas valoir beaucoup. Elle était noire et plutôt courte, composée d'un bustier et d'une jupe à froufrou, rien d'extraordinaire en soit. Elle avait mit une ceinture et une veste légère pour ne pas paraître trop "vulgaire", mais au moins elle était habillée. Elle se maquilla de façon légère et boucla ses cheveux avant de retourner à Aster. Et bien oui, elle vivait à l'extérieur et devait donc se dépêcher pour ne pas arriver en retard. Pour l'occasion, elle s'était chaussée de talons hauts et à vrai dire, elle le regretta au bout de cent mètres de marche. Comment faisaient-elles, toutes ces femmes qui portaient des talons tous les jours ? Bref. Elle arriva avec un peu d'avance et rejoignit immédiatement quelques-uns de ses camarades. A peine la soirée commencée, il y avait déjà tout un tas de personnes étrangères à l'école venues la visiter. Toutes les ladies de bonnes familles se jetaient sur eux avec des sourires et des politesses qui les rendaient plus hautaines qu'à l'accoutumée. Avalon restait dans son coin avec une de ses copines de classe, bavardant de tout et de rien sans trop se soucier des invités. Ce n'était pas trop son truc, ces choses-là. Elles regardaient les autres faire, mais bientôt quelques gens vinrent à elle et son amie. Trois personnes dont un couple souhaitant le meilleur pour leur fille. Avalon les regarda de haut en bas, comme il était tout à fait impoli de faire et leur adressa un sourire forcé. « Bonsoir et bienvenue à Aster. Je vous souhaite une agréable soirée, bye. » Elle allait s'éloignait quand ces gens la retinrent, elle et son amie, pour leur poser quelques questions. Ils avaient l'air tout à fait sympathiques et engageaient la conversation de façon naturelle, mais Avalon ne les écoutait qu'à moitié. Cependant, lorsqu'elle laissa balader son regard dans la salle, elle capta celui d'un professeur qui la fixait sévèrement. Oups ? Tant pis, après tout elle était ici pour ça, c'était toujours mieux que de rester sans rien faire. Peut-être n'aurait-elle pas dû venir du tout, finalement. Elle donna un coup de coude à son amie, mais celle-ci s'éclipsa en prétendant avoir été appelée, laissant la brunette s'occuper seule de la visite. Vraiment ? C'était comme ça ? Elle le lui paierait, c'est sûr ! Pour l'heure, elle se résigna et améliora son comportement pour paraître aussi bien que les autres ladies. Elle devait faire bonne impression, même si elle se fichait totalement de la réputation de cette école. Elle partit donc dans les couloirs du rez-de-chaussée pour une visite rapide des locaux, accompagnée de son petit groupe. La soirée s'annonçait longue, très longue, surtout si elle devait jouer les guide tout au long de celle-ci.


Codage fait par .Jenaa
Revenir en haut Aller en bas
Administrateur

Derek J. Snowhite
Derek J. Snowhite

INTRIGUE NUMERO UNE. Tumblr_md6u1ndPVh1rq4v2lo1_500
« Il y a des jours où je pense que je vais mourir d'une overdose d'autosatisfaction. » Salvador Dali
INTRIGUE NUMERO UNE. Tumblr_md51phPOIv1qe1i57o12_r4_250
Et la voilà partie à tirer des plans pour savoir comment arranger la chose. "Ce sera l'affaire du transporteur, songea-t-elle; ça fera drôle, d'envoyer des cadeaux à ses propres pieds! Et l'adresse, quel air bizarre elle aura! — Alice In Wonderland
INTRIGUE NUMERO UNE. 45803003_copieINTRIGUE NUMERO UNE. 80437408copie
Copyright : Nelliel D'amouuuuuuuuu[...]ur <3 <3 <3
Messages : 497
Points : 181
Avatar : Colin O'Donoghue
Pseudo : flowers
Âge : 25 ans
Surnom : Rick, Light, L., Snow ~
Dortoir : 2e étage - à venir
Multinick : devine ~
Date d'inscription : 07/01/2013


INTRIGUE NUMERO UNE. Vide
MessageSujet: Re: INTRIGUE NUMERO UNE. INTRIGUE NUMERO UNE. EmptyLun 28 Jan - 10:20

PORTES OUVERTES MEC !
Porte ton plus beau sourire, et il ouvrira son porte-monnaie.



Les portes ouvertes. Il se souvenait des portes ouvertes de l'année précédente, passage obligé chaque année pour que l'école garde ses aides financières. Derek avait conscience de l'importance de l'évènement, et il comptait faire honneur à son école, et surtout à son père qui avait promis de venir pour cette soirée particulière. Son oncle était également de la partie - le père d'Innocent sa belle et jeune cousine - ainsi que sa mère et sa tante. Le quatuor constituait à lui seul une bonne part des subventions de l'école. Le fait que son oncle soit un homme politique puissant et un Franc-maçon revendiqué aidait en ce sens.
Il se trouvait pour le moment dans sa chambre, il restait encore une petite heure avant que les portes n'ouvrent et que les financiers n'arrivent pour la soirée. Il se regardait dans le miroir. Il portait un ensemble noir et blanc que son père lui avait fait parvenir. La tenue de majordome de son père, la tenue qu'il portant quand il était venu à Aster, quand il avait été diplômé, et lors de ses premiers emploi. Un uniforme empli de symbole et qui signifiait une chose pour Derek, un message que son père lui faisait parvenir : Rends moi fier et ne fait pas l'idiot. Soupirant, il ajusta son nœud papillon, et tenta de coiffer sa tignasse hirsute. En réalité, s'il y avait bien une chose que son père regrettait c'était de le voir sans lady. Ce n'était pas une chose qui manquait dans l'école, c'était un fait... mais aucune n'avait pour le moment retenu l'attention de Derek. Pas depuis Phoenix. Et il n'avait plus le droit de servir Phoenix. Son père s'y opposé, du fait de la pauvreté soudaine de la demoiselle, et Derek comprenait cela. Il se plait aux exigences de son père, il le fera toujours. Après tout, il lui devait ce qu'il était devenu.
Il sortit de sa chambre, et descendit dans la salle de réception où tout allait prendre place. Le rez-de-chaussé avait été richement décoré par les majordomes et les Lady qui préparaient l'évènement depuis maintenant plus d'une semaine. Il resta bien droit, alors que les portes s'ouvraient et laissaient les premiers invités entrer. Son père et son oncle ne furent pas long à arriver, et son paternel vint le prendre dans ses bras presque aussitôt.
Mon fils. C'est une joie de te revoir. Comment vas-tu ?
Derek sourit et échangea quelques banalités avec son père et sa mère, prenant des nouvelles dans une conversation calme et prouvant de leur statu. Son oncle revint après avoir cherché sa cousine sans résultat. Derek sourit et leur proposa de passer au salon. C'est en s'y rendant qu'ils croisèrent la jeune et pauvre petite Avalon, qui semblait faire visiter l'école à un groupe. La mère de Derek porta sa main à son coeur.
Grand Dieu ! Serait-ce l'une de ces prolétaires qui ont investi notre école ? C'est une honte... vraiment.
C'en est une. Elles sont amusantes.
Répondit Derek sans plus se préoccuper des quelques lady portant des robes issus de magasins capitalistes, et de majordomes mal fagotés. Sa cousine devait sans doute terminer de préparer sa robe de grand couturier, et lui portait un uniforme unique au monde. Ils faisaient honneur à leur nom et à leur famille, c'est tout ce qui importait aux yeux de Derek. Il proposa à ses parents de prendre du thé, et de s'assoir autour d'une table non loin de celle pour le professeur de Derek, Lady Montgomery, se trouvait avec quelques invités. Il croisa son regard, et lui sourit. Un sourire qui pouvait permettre à la lady de se souvenir de la soirée qu'ils avaient passé ensemble...
Passons. Il commença son travail de majordome alors que sa famille attendait la venue d'Innocent. Il leur servit le thé, et leur proposa quelques friandises.


Revenir en haut Aller en bas
Fondatrice

N. Hinamori JaggerJack
N. Hinamori JaggerJack

INTRIGUE NUMERO UNE. Tumblr_mjj5v3y2Kw1s8oqhdo1_r1_500
Provehito In Altum
Copyright : fierce
Messages : 987
Points : 311
Avatar : Kristen Stewart
Pseudo : Nelliel
Âge : 19 ans
Surnom : Hina - Momo
Dortoir : Maison : 12 avenue JFK
côté coeur : Célibataire
Multinick : O. Nemu-Tia McNaghten
Date d'inscription : 13/10/2012


INTRIGUE NUMERO UNE. Vide
MessageSujet: Re: INTRIGUE NUMERO UNE. INTRIGUE NUMERO UNE. EmptyMar 29 Jan - 9:46



L'intrigue


&


Hinamori



Aujourd’hui était un jour important ! Pourquoi ? Tout simplement parce que c’était enfin les portes ouvertes d’Aster. Autant dire que le directeur lui-même était venu voir le comités des élève pour nous faire comprendre qu’il attendait de nous une participation des plus rigoureuse et surtout de montrer une bonne image de nous. Je voulais bien, mais face à des gens qui avaient des tenues aussi cher que ma maison, comment je pouvais faire concurrence ou égal moi ? C’était… Totalement dérisoire et pathétique ! J’avais des envies de meurtres ! Je n’avais même pas une seule robe chez moi. Je m’habillais toujours de jogging, de short ou de jean. Les choses les moins cher que je trouvais sur le marché du petit matin, dans mon quartier quoi… J’étais… Dans la grosse merde. C’était le cas de le dire, y’avait pas d’autre mot à dire. Et pourtant… Et pourtant, heureusement, dans un sens que j’en avais parlé à ma patronne … Elle avait réagi au quart de tour en entendant que je devais avoir une belle tenue… Elle avait alors décidé de me coudre la plus belle robe qui soit pour que la soirée soit parfaite. Mesure, mensuration et j’en passe, elle avait mis plus d’une semaine pour me concocter une robe terriblement belle. Une robe dont je ne savais même pas comment la porter tellement elle était belle, et… si… Extravagante ? Rouge comme le sang, longue à ne pas en finir, j’avais l’impression de ne pas être à ma place. Mais au moins… Oui au moins le directeur serait content de voir que j’étais bien habillée. Mais… Le seul détail qui… Me titillait, était le fait qu’elle était décolleté comme si c’était bar open. C’était la première fois de ma vie que je porterai un vêtement qui dévoilait… Pas mal de mes attributs. C’était surement déplacé pour ce genre de soirée ? Et pourtant, lorsque j’arrivais sur les lieux, coiffée par mes collègues de boulot, maquillait par elles aussi, je pus constater que… Non… Les filles riches étaient parfois pires que moi. Les décolletés se montraient, avec douceur, avec passion, tout dépendait de la robe en elle-même. Mais pas le temps de penser ou de jacasser ! Il fallait s’activer ! Marcher vite avec ce genre de robe n’était pas des plus pratiques… Vraiment pas pratique… Je tentais de remettre les chemises des garçons dans les pantalons, de mieux les arranger mais autant dire que c’était une mission totalement impossible… « Toi ! Cache-moi ce tatouage ! Toi enlève tes boucles d’oreilles ça fait racaille ! Oh toi ! Tu t’es cru chez les putes ? Va me mettre une tenue plus descente ! Non mais ce n’est pas possible ça ! Un peu de bon sens ! On nous permet d’étudier gratuit ! Faite au moins un effort une fois dans votre vie ! » Lâchai-je en hurlant sur un groupe de gens de ma section. J’avais honte… Mais tellement honte. Me frappant le front, je rêvais de leur coller des baffes ! A peine le temps de les faire changer que l’école ouvrit ses portes sur les parents. Inspirant profondément, je tentais de calmer mon cœur avant de vérifier que tout allait bien. Tout s’enchainait, certains faisaient déjà visiter l’école, et je pu voir la sublime Avalon s’occuper de cela avec merveille. Elle était adorable ! C’était surement à mes yeux l’une des meilleures élèves de notre section. Elle faisait des efforts elle au moins ! Pas comme ces abrutis que j’avais croisé plus tôt. Tournant le regard je vis Derek, le trésorier des majordomes aisés. Surement avec ses parents vu la ressemblance. Ils se trouvaient juste devant moi, dos à moi plus exactement. Bref on s’en foutait d’eux. « Grand Dieu ! Serait-ce l'une de ces prolétaires qui ont investi notre école ? C'est une honte... vraiment. » On s’en foutait plus. Serrant les mains, je me tournais rapidement pour voir de qui elle parlait. Avalon. J’allais la tuer ! C’était la mieux de la section ! Qu’est-ce qu’elle ouvrait sa bouche cette riche-là ! J’avais des envies de meurtre. Déjà que Derek n’était pas franchement sympa avec moi et devait surement penser que je volais dans la trésorerie de l’école ou dieu sait quoi. Si sa mère s’y mettait… « C'en est une. Elles sont amusantes. » Derek… Je vais te tuer… Pensais-je franchement en fermant mes yeux. Tel mère tel fils. Bordel, j’allais me le faire. Inspirant longuement, je les regardais s’assoir plus loin. D’accord... Je devais vite, oui vite trouver un plan. J’avais confiance en moi. M’approchant en marchant comme l’on me l’avait appris, et étant la meilleure pour jouer les riches, je m’approchais de la famille de Derek. M’inclinant faiblement devant eux un sourire parfait aux lèvres je relevais le visage pour regarder la mère. « Madame et messieurs Snowhite. J’espère que la soirée sera très agréable pour vous. »[/color] soufflai-je avant de me tourner vers Derek en lui lançant un regard provocateur et menaçant. « Derek, vous êtes parti comme un voleur de ma chambre. M’abandonner sans avoir finir ma coiffure ni mon maquillage… J’ai dû rapidement tout me faire et je ne suis point présentable. Moi qui pensais que vous étiez le meilleur majordome de votre promo. Je suis terriblement outrée et déçue. » soufflai-je en lui lançant un regard quelque peu boudeur avant de voir le thé et les friandises sur la table. « Oh… J’espère que votre thé sera exquis cette fois… J’en garde un mauvais souvenir d’hier… Heureusement Derek que l’amour que vous éprouvez pour moi m’empêche de vous en vouloir… » soufflai-je en me demandant comment allait réagir ses parents. Ok, au fond, c’était moi qui faisais honte à notre section…
Revenir en haut Aller en bas
https://lady-and-butler.forumactif.org
Lady pauvre

Phoenix A. Sullivan
Phoenix A. Sullivan

INTRIGUE NUMERO UNE. Tumblr_ln9bhuqZxP1qfwn4so1_500
Copyright : Golden Wild
Messages : 77
Points : 45
Avatar : Bonnie Wright
Pseudo : Yuna-Hime
Âge : 20 ans
Date d'inscription : 05/01/2013


INTRIGUE NUMERO UNE. Vide
MessageSujet: Re: INTRIGUE NUMERO UNE. INTRIGUE NUMERO UNE. EmptyMer 30 Jan - 0:52

Intrigue de l'incendie

Phoenix la pyrogirl ♥

Salut, je vais mettre le feu !



- « Phoenix ? Ma Chérie ? Descends donc, nous avons une surprise pour toi ! »

La rousse soupira et sortit de la pièce presque vide qui lui servait de chambre lorsqu'elle revenait dans la maison de ses parents. Enfin maison... La gigantesque demeure était vide de tous ses meubles et elle attendait patiemment d'être vendue puisque les Sullivan avaient perdus tout leur argent en investissant dans une secte ayant pour but de donner un accès au paradis à ses adhérents. Inutile de préciser que si on était riches il fallait payer beaucoup plus pour accéder au paradis... Tsss... La rousse descendit les escaliers et vit ses parents qui l'attendaient en souriant. Bon Dieu mais comment faisaient-ils pour sourire comme des niais alors qu'ils n'allaient pas tarder à dormir sous les ponts à cause de leurs conneries ?

- « Tiens ma chérie, c'est pour toi ! »

Son père lui tendit une grande boîte en carton fin que Phoenix reconnu immédiatement : la chose devait contenir une tenue de grand couturier ! Impatiente, la jeune fille ouvrit le couvercle et ses yeux se posèrent sur une superbe robe couleur saphir dont la qualité sautait aux yeux. Cela faisait si longtemps que Phoenix n'avait pas posé les doigts sur une merveille comme celle-ci... Jusqu'à maintenant elle s'était contenté de porter des tenues immondes et mal ajustées de chez H&M ou autres puisqu'elle n'avait pas les moyens d'acheter autre chose et que toutes ses tenues avaient été emportées par les huissiers lorsque l'entreprise familiale avait fait faillite. Phoenix appuya le tissus contre sa joue et le touché incomparable de la soie la fit frissonner de plaisir.

- « Elle est magnifique ! Mais... Comment l'avez-vous achetée ? »
- « Hum... Ne te préoccupe pas de cela et va te préparer ou tu vas être en retard pour les portes ouvertes, ma chérie ! »

Aïe ça ne sentait pas bon ça... Phoenix fronça les sourcils mais l'heure avançait trop vite pour qu'elle ne tente de tirer les vers du nez de ses parents alors elle bâtit en retraite dans sa chambre. La robe semblait faite pour elle : à la différence de toutes ces tenues bons marchés, on sentait que la tenue avait été ajustée pour elle et seulement pour elle.
Phoenix ne put réprimer un frisson de joie lorsqu'elle se regarda dans le miroir. Moulant le buste, la robe retombait délicatement à partir de sous la poitrine en une cascade de tissus parfaitement ajustés pour que la silhouette de Phoenix paraisse parfaite. La jeune fille soupira de plaisir en se disant que, décidément, il n'y avait vraiment rien de mieux que les robes sur mesure ! Le tissus, la couleur, la coupe... Tout allait parfaitement avec le teint, la morphologie et l'humeur de la rousse qui se dit que, finalement, la journée ne serait peut-être pas aussi terrible que ça ! Il fallait dire que c'était ses premières portes ouvertes en temps qu'élève pauvre et ça l'effrayait grandement. Jusqu'à maintenant elle s'était demandé si elle ne devait pas prétendre être malade afin d'éviter de croiser les regards moqueurs des riches devant sa robe de mauvaise qualité mais maintenant qu'elle avait ce bijou, elle pouvait sortir sans rougir !
Phoenix se maquilla légèrement, cacha ses cernes, rougit légèrement ses lèvres, appliqua du crayon noir et du mascara sur ses yeux et mit un pendentif fin en argent qui retombait entre ses deux seins, au niveau du décolleté qui n'était, évidemment, pas démesurément tombant mais qui malgré tout laissait entrevoir qu'elle n'était pas un homme. Une fois les boucles d'oreilles longues misent aux oreilles, Phoenix enfila quelques bracelets, posa le châle assortis avec la robe sur ses épaules puis pris son sac et quitta la demeure sur des talons noirs vernis qui faisaient partis des rares miraculés des huissiers : Phoenix avait réussit à les cacher avant qu'ils n'arrivent et ne prennent tout.

Arrivée à l'école, Phoenix tomba sur la lady JaggerJack qui tentait de raisonner ses troupes de pauvres et Phoenix la regarda faire d'un air amusé. Elle approuva mentalement son choix lorsqu'elle renvoya la pseudo-pute à une tenue plus adaptée puis décida qu'elle en avait assez entendu. Hinamori était encore en train de râler sur inefficacité de ses troupes lorsque Phoenix se dirigea vers sa première famille. La rousse leur offrit son sourire le plus éblouissant et cela fonctionna puisque la mère et la fille la suivirent d'un air satisfait. Phoenix leur parla du fonctionnement de l'école et fini par les accompagner jusqu'au salon où se trouvaient les majordomes. Elle les laissa entre de bonnes mains et parti à la recherche d'autres personnes à guider.
Elle tomba sur une femme âgée et sa petite-fille qui avaient l'air absolument hors d'elle. La femme critiquait ouvertement l'apprenti-lady qui se trouvait devant elle, la traitant d'incapable et répétant qu'à son époque les ladies étaient plus intelligentes et intéressantes que ça. Phoenix qui, malgré tout, appréciait l'école et ne supportait pas les moqueries et remarques blessantes se jeta au secours de la pauvre apprenti-lady qui devait voir ses dernières minutes arriver.

- « Veuillez l'excuser, elle est encore nouvelle. Ses informations ne vous ont peut-être pas suffit mais cela ne vous autorise pas à la ridiculiser ainsi en public, c'est indigne de la lady que vous êtes. Ceci étant dit, je me ferais un plaisir de répondre à vos questions et de vous guider à travers l'école. »

La femme sembla complètement prise au dépourvu : elle ne s'attendait sûrement pas à ce qu'on lui rabatte le clapet ainsi et sûrement pas que cela vienne d'une lady à l'apparence si gentille. Phoenix lui sourit et la femme finit par se dire qu'il ne serait pas digne d'une lady de se disputer avec une fille qui avait apparemment plus d'une réplique cinglante dans sa poche. La grand-mère et sa petite-fille suivirent donc Phoenix et l'apprenti-lady disparut dans un discret "merci" à l'encontre de la rousse.
Phoenix s'appliqua particulièrement à répondre parfaitement à chaque question que lui posait le duo et elle était occupée à expliquer les différents cours de l'école lorsqu'elle passa à côté de Derek et Hinamori. Elle ne les vit pas, trop plongée dans son explication et elle continua donc son chemin vers la salle où elle laissa la grand-mère, satisfaite, avec un majordome qu'elle savait doué. Elle lui glissa discrètement à l'oreille qu'il fallait porter une attention particulière à la femme âgée car elle s'énervait facilement. Une fois assurée que la femme n'allait pas repiquer une crise, la rousse repartie vers l'entrée de l'école.
En chemin elle croisa beaucoup de monde et sentit les regards envieux et hautains mais elle n'en tint pas compte : aujourd'hui, dans cette robe sublime, elle était la Reine et rien ne pourrait la détrôner. Après avoir accompagné plusieurs familles, Phoenix décida de s'accorder une petite pause : elle avait désamorcé une dispute de famille, réussit à faire comprendre à une fillette qu'être lady ça ne voulait pas dire qu'on allait forcément rencontrer le prince charmant sur un cheval blanc, rit avec un jeune homme qui lui avait demandé son numéro de téléphone "au cas-où il aurait un problème", orienté un père complètement paniqué car il avait perdu son fils, fils qu'elle retrouva quelques mètres plus loin en train de relooker une lady. Bref, elle n'avait pas chaumé. Phoenix s'adossa à un mur pour souffler un peu et aperçu plus loin Derek s'activer. Elle le regarda en souriant et s'apprêtait à aller lui dire bonjour lorsqu'elle vit quelque chose qui attira son attention.
Son sourire disparut immédiatement et ses yeux devinrent glaciaux. Ce qu'elle venait de voir ne lui plaisait pas du tout et elle n'allait pas laisser ça passer. Elle ne vérifia même pas si les gens autour d'elle avaient vu son changement d'attitude et disparut dans un mouvement de tissus bleuté. Qu'on ait vu ses yeux se remplirent de haine et de colère l'importait peu puisque de toute façon seul Derek pourrait comprendre l'objet de sa rancune et il était bien trop occupé pour l'arrêter s'il l'avait vu... La rousse se dirigea instinctivement vers la cuisine et y saisit une bouteille d'huile sans que personne ne la voit. Elle entra dans une salle vide située à proximité de la cuisine et y déposa la bouteille sur une table. Bon maintenant il s'agissait de comprendre comment elle pourrait s'occuper de ça... Phoenix avait une idée aussi flamboyante que ses cheveux et elle ne s'arrêterait pas avant d'avoir réussit à mettre le feu à cet évènement. Versant la bouteille d'huile sur les tables, Phoenix jeta une allumette sur l'huile qui prit aussitôt feu. La jeune fille ne sortit pas de la pièce, se demandant comment elle allait faire pour que le feu se propage or de là lorsque la porte s'ouvrit, laissant apparaître un homme plus âgé qu'elle qui lui glissa quelque chose sur la façon de provoquer un incendie ou quelque chose du genre. Phoenix ne l'écoutait pas vraiment, trop occupée à regarder le feu brûler les tables.

- « Je n'allume pas des incendies tous les jours alors forcément ce n'est pas vraiment ça... Mais puisque vous faites le malin, aidez moi donc au lieu de vous moquer. »

[HJ : Le feu commence à brûler mais pour l'instant il n'y a rien d'important donc la visite continue normalement. L'homme auquel Phoenix parle à la fin c'est Judas. Sur ce, amusez-vous bien avant que tout brûle ♥]
Code by AMIANTE
Revenir en haut Aller en bas
Cotoyen

Judas A. Hawkins
Judas A. Hawkins

INTRIGUE NUMERO UNE. Tumblr_mfg0kukvL01rlid68o1_500
Copyright : Nelliel mon amour à moi & Tumblr
Messages : 131
Points : 87
Avatar : Jared Wonderful Leto
Pseudo : CherryMoofin
Âge : 36 ans
Dortoir : Appartement : 4 rue des Jardins
Date d'inscription : 03/01/2013


INTRIGUE NUMERO UNE. Vide
MessageSujet: Re: INTRIGUE NUMERO UNE. INTRIGUE NUMERO UNE. EmptySam 2 Fév - 17:06




Crash crash ! Burn ! Let it all burn !
& Judas the fucking pyroman, don't forget !

Les soirées sont toujours d'un ennui mortel et sans le moindre intérêt quand les convives ne se présentaient que sous leur forme de bourgeois aux discussions sans vie, des sourires forcés, des tenues qui vous bruleraient les rétines tellement celles-ci sont couvertes de paillettes, des faux semblants des plus pitoyables qui leur donnaient l'impression d'avoir une quelconque importance en ce monde. Mais ils n'étaient rien, juste de stupides pantins qui obéissaient aux courbes boursières et à la couleur verte des petits papiers qu'ils avaient dans les poches. Comment pouvaient-ils se laisser guider par le son des pièces en métal doré plutôt que le son de leur rêve ? Comment pouvaient-ils boire l'eau de leurs illusions plutôt que celle de la liberté ? Pourquoi leurs yeux semblaient aveugles alors qu'ils étaient grands ouverts sur le monde misérable autour d'eux ? Judas leur en voulait, ils étaient des monstres. Beaucoup plus que lui. Il n'aurait jamais été ce qu'il était si la vie n'avait pas essayé de le corrompre lui aussi à l'obsession de l'argent ? Mais il prenait à 100% la responsabilité de ce qu'il était, il savait être différent des autres depuis sa putain de naissance, et même si l'on avait voulu étouffer le fait qu'il soit un marginal cette nature avait inévitablement reprit le dessus à l'annonce d'une fin imminente, il s'était rendu compte qu'il ne voulait pas mourir en étant comme les autres, il voulait mourir tel qu'il était réellement au fond de luit, en monstre et en artiste, les deux se combinant à la perfection. Il parait que nous finissons comme nous naissons : seul et nu. Il voulait être nu de regrets et seul face à ses péchés. Il voulait juste vivre ce qui lui restait, ne laisser personne lui voler ce qui pouvait bien lui rester : ses rêves. Il avait tellement renoncé, l'amour avait fuit et la magie des rêves s'était endormie, mais il était temps de vivre, de respirer, de croire. On le qualifiait de diable, de monstre, mais contrairement à tous ces gens il était heureux. Ils avaient tous peur de la mort, mais ils n'avaient pas conscience de ce qu'elle était, car le matin où vous vous réveillez avec un chiffre en tête, c'était une vision différente qui s'offrait à vous, la vision de la vie et de la liberté. Ils étaient tous en cage et lorsqu'un oiseau libre passait près d'eux ils préféraient le qualifier de monstre et de fou plutôt que de chanceux et d'artiste juste parce qu'ils ont peur de quitter cette cage où ils sont si nombreux, mais ils sont tout aussi malheureux les un des autres, c'était ce que l'on appelle la solidarité. Il se remerciait d'être à ce point égoïste et de sentir sous ses ailles le vent de la délivrance.

Cette salle puait l'hypocrisie et la luxure, cette odeur nauséabonde lui donnait une violente envie de vomir. On l'observait d'un oeil suspicieux, il n'était pas un homme des plus fréquentables d'ailleurs que faisait-il ? C'était la question que tout le monde semblait se poser, mais Judas Hawkins était partout où l'on désirait ne pas le voir, il ne serait pas suffisamment à un monstre aux yeux de tous s'il se contentait d'agir dans les quartier pauvres et sombres de la ville, ce serait moins palpitant. Judas avait répondu à l'invitation à cette soirée, mais il n'y resterait certainement pas longtemps. Il n'était pas adepte de ce genre de... Festivité. Bien qu'il trouvait le terme peu approprié. Judas, l'apôtre du diable observait silencieusement les convives sans toucher au champagne, une boisson qu'il avait bue maintes et maintes fois, une boisson en principe réservée pour les grandes occasions, mais tout dans cet environnement celui-ci semblait avoir perdu son sens. Mais tout ici était dénué d'intérêt et de vie à ses yeux. Juste un mensonge. Tous ces artifices ne seront jamais suffisant pour l'impressionner. Alors qu'est-ce qui pouvait l'impressionner ? Des choses imprévisibles, comme cette fille qu'il avait cueillie lors d'une soirée tout aussi ennuyante, d'ailleurs elle ne semblait pas être venue ce jour là. Ce qui était aux yeux d'Hawkins fortement regrettable, c'était-il attaché à cette adorable créature ? C'était possible...

Ses yeux azurs se posaient sur une jeune femme à la chevelure diabolique se dirigeant vers la cuisine, sans intérêt diriez-vous ? Mais Judas était le genre de personne qui savait lire dans le regard d'autrui cette petite étincelle de folie qui voulait juste dire : vous allez tous me le payer. Il fit mine de rien et guettait la sortie de la jeune femme pour aller dans la pièce voisine armée d'une bouteille d'huile, Judas souriait, la soirée vaudrait peut-être finalement le déplacement. Il doutait sérieusement que cette jolie minette ait l'intention de se faire une vinaigrette. Ce fut avec aisance qu'il s'éclipsait dans la salle en question sans se faire remarquer, il se tournait vers elle en fermant la porte tout en dessinant sur ses lèvres un sourire moqueur et amusé « L'ennui avec les tables de sales riches, celles-ci sont souvent recouverte d'une couche conséquente de vernis qui empêche les flammes d'atteindre le bois en lui-même. » En d'autres termes, l'huile allait se consumer seule puis les flammes allaient mourir en brunissant légèrement le vernis qui sentirait probablement bien mauvais, certainement aurait-ce été plus judicieux de jeter l'huile sur ce canapé en plume d'oie, ça, c'était le genre de matériaux qui brûlaient avec une facilité sans nom. Puis elle se tournait vers lui pour lui dire que l'aider plutôt que de se moquer d'elle, il se mit à rire terriblement amusé par cette adorable rouquine. « Donnes-moi une bonne raison de t'aider avec une mine aussi minable. Et peut-être que nous réaliserons le plus grand barbecue jamais réalisé par cette école qui à l'air d'avoir besoin d'un sacré coup de pub. » A ses mots il l'installait confortablement sur le canapé en observant les flammes danser sur place sans le moindre désir dévastateur, ces flammes étaient nulles... Pathétique. Un peu comme cette fille qui avait l'air bien trop propre sur elle pour mettre le feu ici, mais les apparences sont souvent trompeuses, et il ne doutait pas que son désir de réduire cet endroit en cendres soit véritable. Mais cette action n'était vraisemblablement pas préméditée par la rouquine, elle semblait répondre à une pulsion bien trop violente pour qu'elle cherche à lutter une seule seconde. Et les personnes qui cédaient de la sorte plaisaient au diable.

© Belzébuth


Amusez vous avant qu'il ne soit trop tard *rire diabolique*
Revenir en haut Aller en bas
http://gotham-shadow.lebonforum.com/
Administrateur

Derek J. Snowhite
Derek J. Snowhite

INTRIGUE NUMERO UNE. Tumblr_md6u1ndPVh1rq4v2lo1_500
« Il y a des jours où je pense que je vais mourir d'une overdose d'autosatisfaction. » Salvador Dali
INTRIGUE NUMERO UNE. Tumblr_md51phPOIv1qe1i57o12_r4_250
Et la voilà partie à tirer des plans pour savoir comment arranger la chose. "Ce sera l'affaire du transporteur, songea-t-elle; ça fera drôle, d'envoyer des cadeaux à ses propres pieds! Et l'adresse, quel air bizarre elle aura! — Alice In Wonderland
INTRIGUE NUMERO UNE. 45803003_copieINTRIGUE NUMERO UNE. 80437408copie
Copyright : Nelliel D'amouuuuuuuuu[...]ur <3 <3 <3
Messages : 497
Points : 181
Avatar : Colin O'Donoghue
Pseudo : flowers
Âge : 25 ans
Surnom : Rick, Light, L., Snow ~
Dortoir : 2e étage - à venir
Multinick : devine ~
Date d'inscription : 07/01/2013


INTRIGUE NUMERO UNE. Vide
MessageSujet: Re: INTRIGUE NUMERO UNE. INTRIGUE NUMERO UNE. EmptyDim 3 Fév - 9:32

PORTES OUVERTES MEC !
Porte ton plus beau sourire, et il ouvrira son porte-monnaie.



Il ne la vit pas arriver, et c'est sans doute pour cela qu'il fut surpris. Il n'avait pas l'habitude d'être surpris par les gens, bien qu'il n'attendait que cela pour profiter de son existence et de sa vie à l'école. Dés qu'elle fut arriver près de lui il tourna les yeux sur elle, et fut dés lors incapable de décrocher son regard. Elle s'était mise sur son trente-et-un. S'il n'avait su qu'elle était la Présidente du Comité des Lady-sans-argent il n'aurait pas cru qu'elle était pauvre. Elle était sans doute une des femmes les plus en beauté de toute la salle, mais cela il ne l'avouerait jamais.
Il ne comprit pas ce qu'elle venait faire près de lui, et surtout alors qu'il était en présence de sa famille, dont son oncle qui n'hésitait jamais à aligner les zéro sur ses chèques pour l'école, et pour son propre Comité. Il sentit alors quelque chose de nouveau lui serrer l'estomac et il tenta de comprendre ce que c'était... du stress. Il stressé, apeuré à l'idée de ce qu'elle pourrait faire. Il ne doutait pas qu'elle n'était pas ici pour faire connaissance avec ses parents. Elle devait sans doute les exécrer. Ou comprendre que si les parents de Derek apprenaient sa condition de prolétaire elle sera convié à ... disparaitre.
Madame et messieurs Snowhite. J’espère que la soirée sera très agréable pour vous.
Il haussa un sourcil, et ses parents tournèrent un regard intrigué vers elle. Derek croisa les yeux bleus de son père qui s'illuminèrent d'une lueur d'espoir. Il y lisait très bien le message une nouvelle lady ? Non papa, non. Un jouet adorable et mignon. Mais inexorablement pauvre et de ce fait... cela ne pouvait pas être sa Lady.
Derek, vous êtes parti comme un voleur de ma chambre. M’abandonner sans avoir finir ma coiffure ni mon maquillage… J’ai dû rapidement tout me faire et je ne suis point présentable. Moi qui pensais que vous étiez le meilleur majordome de votre promo. Je suis terriblement outrée et déçue.
Il resta ... stupéfait, et entendit à peine le cri outragé de sa mère qui porta sa main à sa bouche, et sembla ... perdre pied. Son père tourna un regard sévère vers lui, et son oncle retint un petit rire moqueur. Derek retint un sourire amusé presque ravi et voulu répliqué mais elle ne lui en laissa pas le temps.
Oh… J’espère que votre thé sera exquis cette fois… J’en garde un mauvais souvenir d’hier… Heureusement Derek que l’amour que vous éprouvez pour moi m’empêche de vous en vouloir…
Une tasse tomba sur le sol... celle de sa mère qui se leva soudainement pour crier sur son fils, ou alors pour demander à Hinamori de partir. Est-ce que la grande Lady Snowhite aller perdre pied ? Non, jamais. Elle se tritura les mains et respira profondément.
Derek tu... ne nous présente pas ta charmante Lady ?
Chère mère je vous présente Hinamori JaggerJack, présidente du Comité des Lady.
Il y eut un silence, puis un soupir de soulagement. Celui de son père. Qui cependant tourné toujours un regard presque cruel sur lui. Au moins, il devait penser qu'elle était une bonne fille, importante. La mère de Derek parut plus sceptique, sans doute parce que le nom de la jeune femme ne lui disait strictement rien. Derek n'attendit pas une réponse de la part de ses parents. Il passa son bras sur la taille d'Hinamori, et embrassa son cou.
Pardonnez-moi chère Lady. Mais je vous en prie, asseyez-vous auprès de mes parents, et servez-vous du thé, les miens seront ravis d'en apprendre plus sur vous ~ 
Revenir en haut Aller en bas
Butler riche

Tomoe M. Carter
Tomoe M. Carter

&lt;&lt; Ce n&#39;est qu&#39;une question de temps &gt;&gt;
Copyright : Bazzart & Trumbl
Messages : 249
Points : 80
Avatar : Ian Somerhalder.
Pseudo : Looping.
Âge : 25
Surnom : Comme vous voulez ;)
Multinick : Nan !
Date d'inscription : 01/01/2013


INTRIGUE NUMERO UNE. Vide
MessageSujet: Re: INTRIGUE NUMERO UNE. INTRIGUE NUMERO UNE. EmptyDim 3 Fév - 10:51




Les Portes Ouvertes !

« Le malheur a été mon dieu. Je me suis allongé dans la boue. Je me suis séché à l'air du crime. Et j'ai joué de bons tours à la folie. » ► RIMBAUD

Soirée magique, festive, ambiance classe, décorations splendides, jolies demoiselles lady, bonne gastronomie, rires endiablés, ... mais tout ça était si ... artificiel. Même moi, né de famille riche, je n'aimais pas trop ce genre de soirées, pas assez simples, bon je vais pas dire que je préfère une réunion dehors avec les quatre clochards du quartier sombre hein ! Mais moi je ne participe pas à cette soirée, c'est peu être un peu pour ça que je m'y plais pas trop. Je sers, on m'a désigné pour servir les invités, un peu de gâteau par ci, de champagne par la. Et ce jusqu'a la fin de la soirée, sans rien de vraiment amusant, je vais faire le robot toute la soirée, en parcourant la salle de droite à gauche ou de gauche à droite. Comme quelques autres majordomes désignés j'étais en costard chic noir et blanc, sourire aux lèvres, plateau à a main. Les jeunes femmes me regardaient de haut en bas avec un léger sourire ou un regard coquin. J'en pouvais déjà plus. J'aime servir ma Lady, mais pas une soirée. Je regardais autour de moi, quelques personnes étaient en groupe, d'autres juste à deux, sur un canapé, au buffet. Puis aussi Hinamori en train d'engueler une bande de jeunes étourdis qui avaient fait "quelque chose de mal", en gros ils ne s'étaient pas bien appliqués sur leur tenue de la soirée. Je remarquais qu'une jeune demoiselle était entré dans les cuisines en ressortant avec ... de l'huile ? Je haussais les surcils. Je regardais ce qu'elle allait en faire, et ouais, j'étais curieux, je suis un peu responsable de cette soirée ! Mais un homme se joint à elle, ils discutaient, toujours la bouteille à la main. C'est plutôt étrange. Tomoe les quitta du regard pour s'atteler à son travail, il ne pouvait pas faire et la police, et le serveur. Bizarrement ce soir toutes les filles étaient belles, même celles, qui d'habitude sont vraiment moches en cours. Ce qui prouvait qu'elles avaient mis la tonne de maquillage, j'imagine bien les deux centimètres de fond de teint et le kilo de mascara. Je souris en pensant à ça. Celles qui n'avaient pas un visage très beau portaient de belles robes qui mettaient leur corps en valeur. Bref, tout le monde était joli.
La musique était douce, pas trop envahissante, mais franchement chiante à la longue. La soirée pouvait durer toute la nuit, et de ce fait Tomoe devrait donc aussi travailler toute la nuit. Un long sourire s'échappa de ses lèvres.


► TOMOE.


Intrigue

CODE BY AMIANTE
Revenir en haut Aller en bas
Fondatrice

N. Hinamori JaggerJack
N. Hinamori JaggerJack

INTRIGUE NUMERO UNE. Tumblr_mjj5v3y2Kw1s8oqhdo1_r1_500
Provehito In Altum
Copyright : fierce
Messages : 987
Points : 311
Avatar : Kristen Stewart
Pseudo : Nelliel
Âge : 19 ans
Surnom : Hina - Momo
Dortoir : Maison : 12 avenue JFK
côté coeur : Célibataire
Multinick : O. Nemu-Tia McNaghten
Date d'inscription : 13/10/2012


INTRIGUE NUMERO UNE. Vide
MessageSujet: Re: INTRIGUE NUMERO UNE. INTRIGUE NUMERO UNE. EmptyDim 3 Fév - 15:50



L'intrigue


&


Hinamori



« Derek tu... ne nous présente pas ta charmante Lady ? » « Chère mère je vous présente Hinamori JaggerJack, présidente du Comité des Lady. » Tournant un vague regard sur ses parents, j’avais l’impression d’y être allé… Un peu trop fort, surtout quand l’on voyait la réaction de la dite mère. J’espérais tout de même qu’elle ne s’était pas brûlée avec le thé et que la tasse ne lui avait pas fait de mal. Le monsieur qui était avec eux, était en train de rire doucement, discrètement, de la situation, il avait l’air amusé… Alors que le père de Derek lui… Me faisait froid dans le dos. Encore une famille de riche bien bizarre… Oui, dans le sens ou… Tout devait être espionné, traqué, regardé, et j’en passe. Demain, ils sauraient surement tout sur moi, sur ma vie misérable et je m’en foutais royalement parce que j’assumais parfaitement d’être pauvre. Mais pour le moment, je devais jouer les bonnes filles sans dire que j’étais pauvre. Pour leur montrer simplement que oui, nous aussi les pauvres on pouvait avoir la classe, de la prestance et bordel péter plus haut que le cul des bourgeois dans leur genre ! « Enchantée de faire votre connaissance. Rencontrer la famille de Derek est un honneur et un plaisir pour moi. »[/color] soufflai-je en m’inclinant dans une petite révérence des plus parfaite. Tête baissée comme il fallait, je restais deux secondes ainsi avant de me remettre droite comme il faut avant de sentir le bras de Derek passer autour de ma taille. J’avais envie de meurtre. Je détestais qu’un homme me touche. Zen, self-control. Je ne devais pas… Le pousser. Ses lèvres dans mon cou, je me sentis doucement rougir, surtout que nous étions en public et devant ses parents qui plus est. « Pardonnez-moi chère Lady. Mais je vous en prie, asseyez-vous auprès de mes parents, et servez-vous du thé, les miens seront ravis d'en apprendre plus sur vous » Frissonnant doucement, je baissais le regard vers celui de Derek avant de tourner le visage. Ma main se plaçant doucement sur sa taille attrapant la veste de son trois pièces avec douceur, je tournais le visage vers le sien nos joues se frôlant alors, que me lèvres elles, s’approchaient lentement de son oreille pour lui parler à voix basse. « J’espère que mon petit jeu te plait… » murmurai-je doucement à voix basse que pour lui seul m’entende. Déposant un lent baiser sur sa joue y laissant une faible trace de rouge à lèvres rouge, j’attrapai une serviette pour m’approcher de sa mère. « Madame Snowhite, j’espère que vous ne vous êtes pas blessée ? Tout est de ma faute, j’ai manqué de délicatesse et j’ai été imprudente de m’en prendre à votre fils en public. Heureusement nous sommes entre nous. Tenez pour vos mains. » soufflai-je en posant une main sur son épaule la faisant assoir sans la quitter du regard me faisant alors terriblement charmante. Au boulot, j’étais la seule à pouvoir faire un effet fou aux garçons comme aux filles. J’avais même bien plus de succès avec les femmes que les hommes de par mon charme et ma façon de faire. Tout était dans le regard. Ramassant la tasse qui par chance ne s’était pas cassé, je la posais sur la table. Derek nettoierait le reste… Souriant doucement, je retournais près de Derek avant de regarder le thé. Je me fichais du thé que je buvais mais j’avais envie d’être encore plus chiante à souhait. « Je ne veux point importuner. Puis étant la présidente et major de ma promo, vous savez que je me dois de surveiller les élèves et de montrer l’exemple. Le directeur m’a nommé Présidente pour mes qualités et mes notes exemplaires. Ne l’oubliez pas. » soufflai-je doucement avant de passer lentement mon bras autour du sien en me collant à lui l’air de rien. Je bossais d’arrache-pied pour être la première de ma section alors autant dire que ça payait… « Auriez-vous l’amabilité de me faire mon thé favoris ? Vous savez que je n’aime qu’une sorte de thé. » Soufflai-je en passant ma main sur sa joue pour effacer doucement la trace de rouge à lèvres en rougissant un peu sous la proximité qui m’agaçait plus qu’autre chose. J’étais peut-être allée trop loin… Vraiment trop loin. De plus ayant une robe aussi décolleté j’avais l’impression d’être nue devant tout le monde. Je guettais le regard de Derek. Ce pervers serait capable de baisser le regard pour mater. Il le paierait !
Revenir en haut Aller en bas
https://lady-and-butler.forumactif.org
Butler Pauvre

A. Tyler Wood
A. Tyler Wood

Copyright : BEATNIK BEAST
Messages : 64
Points : 29
Avatar : victor Norlander
Pseudo : Mil'
Âge : 18 ans
Surnom : Tyl'
Dortoir : Apparement
Date d'inscription : 12/01/2013


INTRIGUE NUMERO UNE. Vide
MessageSujet: Re: INTRIGUE NUMERO UNE. INTRIGUE NUMERO UNE. EmptyDim 3 Fév - 20:46

Les portes ouvertes, Tyler aurait voulu tout faire pour ne pas y participer… Il aurait voulus tout faire pour s’y soustraire, malheureusement, il n’y avait aucune solution. Le jeune homme avait même dit qu’il travaillait ce soir-là, mais ce n’était pas une excuse. Il devait être présent ! Ils étaient tous obligés de participer à cette foutue soirée ! Tyler soupira et se leva de son lit. Tyl’ ouvrit les portes de son armoire pour en sortir le seul costard qu’il possédait, le jeune homme avait dû acheter un costard pour l’occasion. Oh, bien sûr, c’était un costard très bon marché et qui ferait surement tache à côté des costards de marque des étudiants riches, des robes de couturier pour les Ladys riches. Un costard qui ne ferait pas honneur à l’école, mais le jeune homme s’en fichait. Il s’en fichait pas mal de faire de la mauvaise pub pour l’université, il s’en fichait de déshonorer l’école et cela pour la simple raison qu’il détestait cet endroit. Il finit par enfiler ce costume et se diriger ver l’école une clope aux lèvres. Il arriva devant le portail, la clopa coincer entre les lèvres les mains dans les poches dont l’une d’elles en sortait régulièrement pour tiré des taffes… Une attitude qui attira le regard outré de plusieurs personnes de bonne famille, mais le brun ne s’en formalisa pas. Il écrasa sa clope et se dirigea vers la salle de réception. Tyler devait servir les invités, il devait passer sa soirée à sourire, à faire un pauvre sourire hypocrite qu’il détestait tant… Il passa à côté d’une Lady qui passait en revue ses troupes et qui leur hurlait dessus, ce qui le fit rouler des yeux.
Alors qu’il servait le jeune homme repéra plusieurs têtes connues : Derek était là, c’était un riche, mais il fallait avouer qu’il était assez mignon… Il parcourra la salle laissant des sourires hypocrites et des regards tout aussi hypocrites aux personnes qu’il croisait… Lorsqu’il servait un couple et leur fille qui attendait surement la venue d’une Lady pour répondra à leur question, le jeune homme repéra Avalon… Un petit sourire traversa ses lèvres. Il répondit poliment aux quelques questions que la future Lady, qu’il servait, lui posait. Il était à cette soirée depuis peu, mais il n’en pouvait déjà plus de voir tous ces abrutis étaler leur richesse. Il continua à parcourra la salle avec un plateau lorsqu’il n’avait plus de petits fours dans le plat qu’il portait. Son regard se tourna vers Avalon, au passage il crut reconnaître Judas, mais il ne trouvait plus. Un haussement d’épaules, l’homme n’était surement pas resté très longtemps ici, mais son pote de soirée n’avait pas bougé… Il se dirigea vers elle et se glissa dans son dos.

— Salut, toi…
Revenir en haut Aller en bas
Professeur

Mégane V. Montgomery
Mégane V. Montgomery

INTRIGUE NUMERO UNE. Tumblr_lrwnzxLQXb1qbjvfco3_250
Copyright : Psychozee-> Bazzart
Messages : 248
Points : 134
Avatar : Leighton Meester
Pseudo : Titrus
Âge : 26 Ans
Surnom : Meg ou Val pour les intimes, Mme pour les élèves
Dortoir : Appartement
Multinick : Non
Date d'inscription : 04/01/2013


INTRIGUE NUMERO UNE. Vide
MessageSujet: Re: INTRIGUE NUMERO UNE. INTRIGUE NUMERO UNE. EmptyDim 3 Fév - 21:59



♕ Portes ouvertes d'Aster

Il y avait de plus en plus de monde, l'administration avait communiqué le fait que les professeurs devaient se séparaient car, ils n'étaient pas assez nombreux pour surveiller tous les étages. Un véritable plan Vigipirate version Aster. Ainsi Meg se retrouvait seule dans le Hall d'entrée à surveiller les allées-venues en plus des élèves tel un soldat de l'armée dépourvus d'arme et en talons. La professeur ne cessait pas de faire des allers-retours de la salle au hall d'entrée, elle jetait un regard sévère à une élève, croisa le sourire de Derek qu'elle ignora et repartit dans le hall croisant le passage de Miss JaggerJack. Connaissant la demoiselle pour son sérieux, Mégane la laissa tranquille et reprit sa patrouille. Son téléphone sonna au moment où deux personnes la frôlèrent pour partir dans les cuisines. C'était sa collègue qui signalait sa prise de bec avec des parents qui venait de la traiter "d'insignifiante" sous le prétexte qu'elle avait mis une mauvaise note à leur fille. Cette anecdote fit sourire la jeune femme, les parents étaient venus exprès pour passer un sermon à sa collègue, elle ne souhaitait nullement se retrouver dans la même situation qu'elle car, Meg n'était pas aussi passive que son amie qui était parti sans rien dire aux parents. Bref, le téléphone planqué, soldat Montgomery reprit sa mission. Elle adressa un sourire bienveillant et encourageant à Tyler Wood l'un de ses élèves, un jeune homme adorable, sérieux mais, quelque peu en retrait, il ne fit pas attention à elle et partit rejoindre une lady que la professeur ne connaissait pas, sans doute était-elle avec l'autre professeur de cuisine. Son attention fut détournée par la silhouette de Tomoe Carter qui faisait un travail exemplaire. En vérité, la plupart de ses élèves faisaient un très bon travail et la professeur était très fière d'eux.

Un des majordomes s'approcha discrètement de la professeur qui eut un sursaut en le surprenant près d'elle. Le jeune homme venait lui apporter une tasse de thé pour lui donner un peu de "courage" car, il avait remarqué sa mission de haute surveillance. Mégane le remercia pour la délicate attention mais lui signala qu'il devait avant tout soigner les parents et futurs élèves d'Aster avant de voir si les professeurs allaient bien. Un autre message de son portable signala à Meg que sa collègue avait quitté les lieux car, étant mariée et ayant des enfants, elle n'avait pas prévu de rester très longtemps. Hum... bientôt le corps professoral allait se retrouver en sous-effectif car, nombreux étaient ceux qui ne pouvaient pas rester trop tard ce soir-là mais, au moins avaient-ils eu l'amabilité de se déplacer. La prof but son thé rapidement et donna la tasse vide à u majordome qui se chargea de la mettre avec toutes les autres tasses prête à rentrer dans le lave-vaisselle. Le temps paraissait plus long au sein de l'administration et chez les enseignants comparés du côté des élèves, parents et futurs élèves qui semblaient tous fébriles et affairés.
© Belzébuth
Revenir en haut Aller en bas
Butler riche

Daniel N. Clare
Daniel N. Clare

Copyright : me ; tumblr
Messages : 352
Points : 125
Avatar : Gaspard Ulliel
Pseudo : /
Âge : 20 ans
Dortoir : Appartement, 29 rue des Arts
Multinick : Non
Date d'inscription : 04/01/2013


INTRIGUE NUMERO UNE. Vide
MessageSujet: Re: INTRIGUE NUMERO UNE. INTRIGUE NUMERO UNE. EmptyLun 4 Fév - 20:59


Portes ouvertes






Être bienvenue, c'est quand une personne vous accueille les bras ouverts
et que sur ses lèvres se dessine un sourire sincère




Bienvenue à Aster


Pendant tout le temps des portes ouvertes, je croisai beaucoup de monde que je connaissais pour leur avoir parler ou que je connaissais au moins de vu.

D’abord je vis Mme Montgomery vêtu d’une très belle robe rouge et noire quand elle emmena des personnes jusqu’au salon de thé. Je vis qu’elle observa quelques instants la salle portant son regard sur les majordomes puis repartit. Hum… Je pense que les professeurs ont pour charge de répondre aux questions, mais aussi de voir si les élèves se montrent comme le souhaite Aster. Mon impression se confirma quand plusieurs professeurs firent pareils.

Quand elle dut venir amener des personnes au salon de thé je reconnus aussi au loin cette chère Avalon, habillé d’une robe noire, d’un gilet et de talons haut. Quelle idée pour une telle journée, elle aurait plutôt dû opter pour des ballerines pour suivre avec sa tenue et supporter la marche toute la journée. Elle semblait pas des plus motivé pour sa tâche, mais elle le faisait en affichant un beau sourire.

Ensuite je vis Hinamori d’une robe d’un rouge sang, assez impressionnante. Je ne pensais la voir dans une telle tenue un jour. Elle qui semble toujours si simple dans le choix de ses vêtements. Mais après tout c’est les portes ouvertes. Elle alla s’asseoir à une table avec quelqu’un que je reconnus comme un majordome du nom de Derek, mais avec qui je n’avais encore jamais parler. Je vis plusieurs autres personnes...

Après un énième service et après avoir répondu à un flot de question. Je dus enchaîner sur un couple avec leur garçon. J’allai donc en cuisine cherchait les accompagnements et le thé. Je pris donc quelques cupcakes que j’avais fait et le laissa le reste du plat en cuisine, pour aller servir mes hôtes. Je fis le bon majordome, souriant, répondant à toutes leurs questions, les servant bien. Puis quand ils furent partis j'allai en cuisine à la suite d’une fille à la chevelure rousse. J’avais oublié mon portable je passai donc le récupérer près de mon plat et quand je fis demi-tour pour retourner vers la porte, la jeune fille avait disparu. Sans doute est-elle ressortit. Je glissai le portable dans ma poche, pris d’autres cupcakes pour mon service suivant et sorti des cuisines.

Dans la salle de thé Tomoe était là, s’attelant comme d’habitude faisant son travail de majordome à la perfection. Je ne voulais pas le déranger, même s’il aurait était sympa d’avoir une conversation avec lui. Je lui souris juste et lui dit bonjour quand je passai à côté lui.

Il y avait vraiment beaucoup de monde autant chez les élèves que chez les visiteurs. Il y avait vraiment un flot continu de visiteurs, c’est agaçant, pas moyen de souffler cinq minutes. J’avais toujours en charge le même couple, leur fils hésitait entre plusieurs voies et donc plusieurs choix de cours et on me demanda mon avis. Mais c’est pas moi qui choisis ton avenir, tu devrais être capable de savoir ce qu’il te convient le mieux non ?! Bien-sûr je gardai cette pensée pour moi et fis le pour et le contre de chaque cours qu’il me demandait, même ceux que je ne connaissais j’essayai de me rappeler le moindre détails que j’ai pu connaître sur ses cours et les ressortis dans mes explications. Je gardais le sourire tout le temps même quand on me posa pour la millième fois la même question, ma réponse resta la même que pour toutes les familles. Quand ils furent enfin satisfaits, je les raccompagnai jusqu’à une ladie. Allez comptes, jusque dix et tu peux recommencer. Un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept…

_Messieurs, dames.

Je m'inclinai légèrement.

_Veillez me suivre je vais vous amener à une table.

Je pris donc en charge de nouveaux parents et enfant -qu'on venait de m'amener- me montrant souriant et aussi parfait que je dois l’être, même si j’ai qu’une envie : rentrer chez moi et me jeter dans mon lit. Mais ça va se finir quand cette invasion de gens ?



Revenir en haut Aller en bas
Lady pauvre

Avalon L. Warner
Avalon L. Warner

INTRIGUE NUMERO UNE. Tumblr_lsf22wK8Sp1r44iyio1_500

Nothing's ever perfect,
you know?

Copyright : Croco & tumblr
Messages : 82
Points : 48
Avatar : Kaya Scodelario
Pseudo : Celty_Insane
Âge : 20 ans
Surnom : Val, Ava ..
Dortoir : Appartement, 13 rue des Lauriers
Date d'inscription : 14/01/2013


INTRIGUE NUMERO UNE. Vide
MessageSujet: Re: INTRIGUE NUMERO UNE. INTRIGUE NUMERO UNE. EmptyDim 10 Fév - 12:05

Everyone
“ portes ouvertes ”



La soirée battait son plein et l'on pouvait trouver des invités un peu partout ; de la salle de réception jusqu'aux couloirs, cette école était vraiment bien réputée. Après tout, maintenant qu'elle y réfléchissait, on trouvait des Majordomes dans les familles riches et elle comprenait bien leur présence. Mais les dames, devait-elle vraiment passer par l'école pour apprendre à être une bonne Lady ? Et finalement, elle se demandait bien pourquoi l'école avait ouvert l'accès aux plus pauvres. Il n'y avait aucun intérêt pour eux, à devenir ce genre de personnes et il n'y avait que l'inscription gratuite qui en attirait la plupart.. Mais alors que la brune réfléchissait, elle ne fit pas attention aux personnes qui arrivaient en face ni à leurs propos désobligeant, non elle n'avait pas remarqué Derek et sans doute était-ce mieux ainsi. Le groupe qu'elle accompagnait la rappela à l'ordre et elle poursuivit sa visite. Ceci dit, elle n'avait plus grand chose à leur montrer ni à leur dire et finalement, retournés dans la grande salle, elle les quitta en les saluant d'une petite révérence. S'ils avaient d'autres questions, valaient mieux qu'ils aillent les poser auprès d'une autre lady, Avalon n'était pas la plus qualifiée pour ça. Elle se sépara donc de la famille et chercha rapidement quelqu'un vers qui aller, mais la salle étant trop pleine, elle ne distinguait pas grand monde. Où était passée son amie ? Alors qu'elle partait de nouveau dans une direction au hasard, une voix l'interpella et la fit sursauter malgré elle. Il s'était glissé derrière elle en silence et le sourire lui vint lorsqu'elle se retourna: Tyler. Elle ne pouvait pas espérer mieux ! Enfin quelqu'un avec qui la soirée serait plus agréable, elle espérait même que le temps passe vite. « Hé salut ! J'suis contente de te voir, je commençais à désespérer.. C'est l'ennui total cette soirée. » Un soupir s'échappa de ses lèvres, mais elle retrouva aussitôt le sourire et remarqua que le plateau du jeune homme était vide. Elle lui pointa du doigt et lui demanda seulement s'il comptait retourner en cuisine, ou ailleurs pour le remplir. Fallait-il encore qu'il serve tous ces invités ? Ah elle aurait bien aimé pouvoir s'éclipser, mais ses professeurs lui en tiendraient sûrement rigueur. Quelle heure était-il ? Le temps passait, mais la salle ne se vidait jamais et même pire, il semblait y avoir toujours plus de monde à chaque minute. Au moins avait-elle quelqu'un avec qui parler et Tyler était de très bonne compagnie pour la jeune femme.


Codage fait par .Jenaa
Revenir en haut Aller en bas
Lady pauvre

Phoenix A. Sullivan
Phoenix A. Sullivan

INTRIGUE NUMERO UNE. Tumblr_ln9bhuqZxP1qfwn4so1_500
Copyright : Golden Wild
Messages : 77
Points : 45
Avatar : Bonnie Wright
Pseudo : Yuna-Hime
Âge : 20 ans
Date d'inscription : 05/01/2013


INTRIGUE NUMERO UNE. Vide
MessageSujet: Re: INTRIGUE NUMERO UNE. INTRIGUE NUMERO UNE. EmptySam 16 Fév - 0:53

Intrigue de l'incendie

Phoenix la pyrogirl ♥

Salut, je vais mettre le feu !



- « L'ennui avec les tables de sales riches, celles-ci sont souvent recouverte d'une couche conséquente de vernis qui empêche les flammes d'atteindre le bois en lui-même. »

Phoenix se retourna pour observer l'individu qui venait de lui donner un cours de "lancement d'incendie". L'individu, de sexe masculin, avait sans doute la trentaine, peut-être plus, peut-être moins, et semblait heureux d'avoir trouvé de quoi se distraire. Que Phoenix soit l'objet de sa distraction semblait lui plaire et la rousse se demanda ce qu'un joyeux fouteur de merde comme lui pouvait bien faire là. Si l'évènement ne lui plaisait pas, il n'avait qu'à aller voir ailleurs ! Après tout, à son âge il n'était plus obligé d'assister à ces manifestations de politesse hypocrites et de regards assassins... Sauf s'il était encore étudiants.. Non... Il aurait fallu qu'il soit vraiment stupide... Or il n'avait pas l'air stupide donc...
Phoenix secoua la tête pour faire partir de son esprit ces questions inintéressantes : elle en avait rien à cirer du mec à la porte, elle ce qu'elle voulait c'était foutre le feu, pas recevoir un cours de chimie !

- « Donnes-moi une bonne raison de t'aider avec une mine aussi minable. Et peut-être que nous réaliserons le plus grand barbecue jamais réalisé par cette école qui à l'air d'avoir besoin d'un sacré coup de pub. »

Et de ponctuer le tout en ricanant... Phoenix se retint de lui balancer la bouteille d'huile en pleine tronche et d'allumer le feu pour le regarder brûler. Après tout il ferait un très beau barbecue lui aussi ! Phoenix chassa ces idées peu élégantes de sa tête et jeta un œil sur les flammes qui continuaient de brûler d'un air peu convaincu. Ces flammes étaient minables... Comme ses parents... incapables de faire la différence entre le vrai et le faux, incapables de brûler le vernis pour s'attaquer au vrai bois. Tss.... La colère et la haine montaient en Phoenix et pour peu on aurait pu voir ses cheveux se dresser sur sa tête pour prendre feu si elle avait été un super-héros. Mais elle n'était pas une héroïne avec des supers-pouvoirs, juste une fille avec une bouteille d'huile dans la main et assez de rage et de haine pour remporter une guerre.

- « Je n'ai pas à vous expliquer mes raisons mais puisque vous m'êtes sympathique, retenez simplement que lorsqu'on s'en prend à moi, on risque plus qu'un incendie en retour. Ceci n'est que le commencement d'une campagne terrible et eux, ils souffriront tant et si bien que la mort leur paraîtra être quelque chose d'agréable et à ce moment là, je prendrais ma revanche. L'incendie n'est qu'un prologue et bientôt il comprendront que ma vengeance s'écrit en plusieurs tomes et qu'ils n'en verront pas la fin avant d'avoir souffert comme j'ai souffert...»

Les flammes se reflétaient dans ses yeux bleus et sa haine était si puissante qu'on peinait à voir la différence entre les vraies flammes de la table et les fausses qui brûlaient à l'intérieur de son être. Phoenix allait mettre le feu et ce avec ou sans l'aide de ce grand dadais assis sur le canapé en plumes d'oies. Attendez une minute... Plumes ? Phoenix se tourna vers l'individu et donc vers le canapé : ses yeux étaient tels des lames de rasoirs et sa détermination aurait fait pâlir quiconque s'aventurant à la faire changer d'avis.

- « Si j'étais vous, je me lèverais de ce canapé. Sauf si vous voulez finir en viande carbonisée. J'imagine que vous avez d'autres ambitions pour votre mort, non ? »

Et sans même attendre qu'il ne réponde, Phoenix versa l'huile sur le canapé, sur le fauteuil à côté. puis elle vida la bouteille sur tout ce qui lui paraissait apte à prendre feu vite et bien. Les flammes sur la table mourraient peu à peu mais Phoenix n'en avait cure : son feu intérieur allait se matérialiser dans quelques secondes. Jetant l'allumette sur le canapé, Phoenix sentit son cœur se soulever en regardant les flammes grandir à vue d’œil et dévorer tout sur leurs passage : ça c'était un bon feu, c'était son feu... Qu'ils hurlent, qu'ils pleurent, qu'ils aient peur car ce feu n'était qu'un prélude, qu'un prologue à ce que Phoenix allait leurs faire. Elle allait les faire souffrir, leurs faire regretter de vivre et lorsqu'ils en auraient assez et qu'ils demanderaient à Phoenix de les tuer, elle les laisserait vivre mais la vie ne leur paraitraient plus aussi agréable qu'avant... Elle allait les tuer mais non pas physiquement, non... ça c'était du travail d'amateur et on l'aurait tout de suite soupçonnée. Non... Elle allait les détruire, les tuer mentalement et bientôt ils crieraient à l'aide mais personne ne viendrait les sauver. Phoenix sourit et regarda le feu grandir encore et encore. Puis, sentant l'air se raréfier, la rousse se dirigea vers la porte et jeta un dernier regard à son feu avant de dire ceci à l'individu :

- « Ce fut un plaisir d'allumer le feu en votre compagnie mais vous comprendrez que je doive m'en aller. J'ai des gens à détruire. Maintenant ,excusez-moi... »

La rousse fit une petite révérence, ironique dans un moment comme celui-là, puis quitta la pièce, remit ses cheveux en place puis prenant son air le plus terrifié elle se mit à crier :

- « Au feu ! »

Elle avait l'air tellement apitoyée la petite Phoenix, tellement terrifiée face à ce terrible début d'incendie que les gens ne se doutèrent pas une seconde de ce qu'elle avait fait. Une fois la rumeur propagée, Phoenix s'éloigna vers la sortie mais avant de partir, elle jeta un dernier regard à l'individu qui avait été dans la pièce avec elle. Dans ce regard luisait la détermination et les flammes brûlaient. Ils venaient de passer un pacte. Un pacte avec le diable... Mais dans leur cas, qui était le diable ? Lui, se complaisant dans la destruction, ou elle pour qui l'incendie n'était que le commencement d'une époque de terreur ?

[HJ : Désolée pour la médiocrité du post mais j'ai pas eu le temps de faire mieux T.T]
Code by AMIANTE
Revenir en haut Aller en bas
Cotoyen

Judas A. Hawkins
Judas A. Hawkins

INTRIGUE NUMERO UNE. Tumblr_mfg0kukvL01rlid68o1_500
Copyright : Nelliel mon amour à moi & Tumblr
Messages : 131
Points : 87
Avatar : Jared Wonderful Leto
Pseudo : CherryMoofin
Âge : 36 ans
Dortoir : Appartement : 4 rue des Jardins
Date d'inscription : 03/01/2013


INTRIGUE NUMERO UNE. Vide
MessageSujet: Re: INTRIGUE NUMERO UNE. INTRIGUE NUMERO UNE. EmptySam 16 Fév - 15:20




Crash crash ! Burn ! Let it all burn !
Judas the fucking pyroman !

Elle ne semblait pas d'avis à lui partager ses ambitions, ce qui était fort dommage pour elle, car ils auraient presque pu faire une bonne équipe. Elle avait un but, il avait les connaissances. Mais elle lui semblait très intelligente et s'installer sur le canapé n'était qu'un indice de plus pour la rouquine qui lui faisait face, elle se donnait un air maléfique mais elle n'y connaissait rien cela crevait les yeux et cela le faisait hurler de rire. Il pouvait lire sa colère, il ne savait pas pourquoi elle existait et elle ne voulait pas lui en faire part. Il lui faisait du chantage, mais il l'avait déjà aidé, il était perdant sur ce coup mais au moins la soirée n'était pas perdue. Les mots qui sortaient de la bouche haineuse de la jeune femme l'intriguait, pensait-elle vraiment qu'il lui était sympathique ? Oh, comme c'était charmant ! Non, évidement ce ne fut pas la partie de la phrase de la jeune femme qui intéressait notre homme qui se foutait bien qu'on l'apprécie ou non. « Il ne manque que le rire diabolique et je t'engage pour mon prochain film. Ils t'ont fait souffrir... Own... N'essaie pas de m'apitoyer sur ton minable sort, tu es juste mauvaise assume le au moins. » répondait-il avec un sourire narquois sur les lèvres, elle lui tournait le dos, probablement avait-elle très envie de lui en coller une dans la tronche, mais elle ne le fit pas. C'était une jeune fille bien éduquée, bien trop sage pour transgresser ce genre de règle et pourtant elle était là en train de tenter d'enflammer une école qui était aux yeux de Judas tout aussi pathétique que cette fille. Judas l'observait réfléchir à une façon plus appropriée de s'y prendre, il demeurait silencieux tandis qu'elle semblait enfin avoir trouvé là où il voulait en venir ! La phrase de la jeune femme le fit frapper dans ses mains tel un applaudissement franchement exagéré « Alléluia ! » Il se levait alors qu’elle s’empressait de vider la bouteille sur le canapé qui valait une fortune puis s’attaquait au fauteuil, il croisait les bras et la regardait faire sans répondre à sa question. Des ambitions pour sa mort ? Il en fut juste terriblement amusé ! Il l’observait arroser assez gauchement les tapis et des livres dans la bibliothèque. Puis elle jetait l’allumette sur la canapé il lui adressait un faible sourire amusé « C’est ce que l’on appelle une flambée du diable la rouquine. » Elle admirait son œuvre avec satisfaction tandis qu’il se dirigeait vers la porte attendant qu’elle le rejoigne, sa dernière phrase le fit sourire et le regard malicieux d’Hawkins voulait simplement dire que la prochaine fois elle aurait encore besoin de lui. « Ton vœu n’est pas de les tuer, mais tu ne seras jamais pleinement vengée sans leur mort. » Lui disait-il en guise de salutation, il n’était pas dans les courbettes comme elle avait fait avec ironie, ce genre de situation agitait son centre nerveux de la colère comprimé par cette saloperie de tumeur. Elle sortait et il l'observait avec un réel amusement faire son petit numéro de victime, il refermait la porte, s'enfermant à l'intérieur de la pièce en flamme, sortir maintenant par la porte serait passé pour le coupable. Bien que dans le nuage de fumée on aurait eut du mal à le reconnaître, mais c'était trop facile comme ça. Il traversait la pièce pour se diriger à la seconde porte qui menait dans une pièce assez similaire à celle-ci, poussant le canapé à l'endroit de la porte, les flammes en grand appétit en feront avec facilité un vulgaire tas de cendres, proposant une seconde pièce à cet incendie il sortait les mains dans les poches de la seconde pièce tandis que les convives commençaient à croire les dires de la rouquine, l'odeur de brûlé montait aux narines et la pagaille semblait arriver. Il croisait de nouveau ce regard vengeur de la jeune femme à la chevelure de feu, il lui adressait un faible sourire qui voulait juste dire : ton feu est génial, à la prochaine ! Bien sur, tout le mérite ne lui revenait pas, mais il ne faisait pas de compétition niveau barbecue, il trouvait cette fille intéressante et il semblait qu'elle cachait de noirs secrets et qu'en réalité il n'avait même pas envie de les connaitre, il voulait juste savoir à quel point elle serait capable d'aller pour assouvir sa vengeance. Quoi qu'il en soit, elle saura le retrouver pour la prochaine étape de sa revanche. Il s'éclipsait intelligemment sans se faire remarquer bien évidement, assez discret ce soir là Judas Hawkins... Se dirigeant en premier vers la sortie pour se placer à l'extérieur afin de mieux observer les dégâts et jouir de l'agitation à l'intérieur du bâtiment, il lui semblait cependant avoir le sentiment d'avoir oublié quelque chose...
© Belzébuth

Revenir en haut Aller en bas
http://gotham-shadow.lebonforum.com/


Contenu sponsorisé



INTRIGUE NUMERO UNE. Vide
MessageSujet: Re: INTRIGUE NUMERO UNE. INTRIGUE NUMERO UNE. Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

INTRIGUE NUMERO UNE.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: Aster School :: Le bâtiment principal :: Rez-de-chaussée-