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Comment ?! Il n'y a pas de sur-mesure chez H&M ?! [PV-Derek]

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Lady pauvre

Phoenix A. Sullivan
Phoenix A. Sullivan

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MessageSujet: Comment ?! Il n'y a pas de sur-mesure chez H&M ?! [PV-Derek] Comment ?! Il n'y a pas de sur-mesure chez H&M ?! [PV-Derek] EmptyMer 16 Jan - 19:12

La vie de pauvre, c'est nul !
Phoenix Sullivan et Derek Snowhite


La vie de pauvre ce n'était vraiment pas quelque chose que Phoenix appréciait. La jeune fille avait grandit dans du sur-mesure et là elle devait chercher des vêtements parmi les soldes de magasins basiques. Elle devait batailler pour trouver un haut potable qui ne lui irait pas parce qu'elle n'entrait pas dans les tailles basiques puisqu'elle n'était pas "taillée" comme les trois-quart de la population... Et puis qu'est-ce que c'était censée vouloir dire 36 ou 58 ? C'était le tour de taille ? Et puis L, M, S... C'était censé vouloir dire quoi toutes ses abréviations étranges ? Et puis pour les chaussures le problème était le même ! Comment était-elle censée savoir quelle longueur faisaient ses deux pieds ? Ça ne faisait pas parti de ses lubies de se mesurer les doigts de pieds ! Phoenix avait envie de pleurer mais elle se força à respirer calmement tout en faisant passer ses doigts sur les manches du pull en cachemire qu'elle ne pourrait plus s'acheter. Allons, ce n'était qu'un mauvais moment à passer ! Phoenix décida qu'il était grand temps d'aller essayer les trente-cinq tee-shirts et pantalons différents qu'elle avait pris au pif puisqu'elle ne comprenait pas la différence entre L et S. Elle essaya toutes les tenues possibles et imaginables mais rien ne lui allait, de son point de vue bien sûr. Ce pantalon-ci méritait une reprise au niveau des cuisses, ce haut-ci était aussi bien coupé que la part de gâteau-surgelé que lui avait préparé son nouveau majordome le matin-même et cette robe la faisait ressembler à une courgette géante. La jeune fille n'était pas sortie de sa cabine et s'était contentée de se regarder dans le miroir s'y trouvant : c'était une chose d'être pauvre mais une autre de s'exhiber stupidement devant un ramassis de crétin ! Elle sortit de la cabine, déposa ses millions d'articles sur le porte-cintres prévu à cet effet et s'apprêta à sortir du magasin lorsque son regard tomba sur une robe mi-longue d'une belle couleur vert émeraude. La coupe était parfaite, chose étonnante pour un magasin de grande distribution comme H&M, et Phoenix sentait qu'elle lui irait parfaitement. Depuis toute petite, Phoenix avait toujours cet espèce de don qui la faisait imaginer n'importe quelle personne dans la tenue de son choix et là, elle savait que la robe lui irait. Elle passa ses doigts sur le tissus doux et léger de la robe, admira la coupe et les reflets sans se soucier des gens qui passaient à côté d'elle. Lorsque Phoenix admirait quelque chose de parfait, le monde pouvait arrêter de tourner qu'elle ne s'en rendrait pas compte. Elle fut arrêtée dans sa contemplation lorsqu'une vendeuse vint lui demander si elle avait besoin d'aide. Rougissant légèrement, Phoenix ne répondit pas et partit du magasin au bord des larmes. Elle percuta quelqu'un mais n'y fit même pas attention, trop préoccupée à courir vers les toilettes pour s'enfermer dedans avant que quelqu'un la voit en train de pleurer. Jamais personne n'avait encore vu Phoenix pleurer, sauf Derek évidemment mais lui il la connaissait si bien que de tout façon il l'avait déjà vu dans tous ses états. Le majordome manquait cruellement à la jeune lady et pas un jour ne passait sans qu'elle ne le regrette. Sa vie était tellement parfaite avant que ses couillons de parents ne perdent tout leur argent... Elle ne se posait pas de questions d'argent, ne se préoccupait pas des pièces rouges et elle avait à ses côtés le majordome le plus compétent qu'il puisse exister. Maintenant c'était tellement différent... Elle devait compter les petites pièces rouges et dorés pour payer et en plus son majordome était un incapable. Vie de merde...
Phoenix s'inspecta dans la glace et se trouvait l'air épuisé. Sa peau déjà blanche à la base commençait à ressembler à celle des vampires dans Twilight, ses yeux bleu paraissaient beaucoup plus ternes que lorsqu'elle était riche et elle avait perdu du poids, chose dont elle n'avait pas du tout besoin, au contraire... Phoenix se dit qu'elle était maigre, qu'il était grand temps qu'elle reprenne du poids mais ce n'était pas avec ce que son majordome lui faisait qu'elle allait y arriver alors elle se décida à faire quelque chose qu'elle n'avait toujours pas osé accomplir : aller au McDonald. Décidée à accomplir l'acte le plus atroce qu'elle pouvait imaginer, Phoenix posa ses lunettes de soleil sur son nez et sortit des toilettes pour se diriger vers l'enseigne flamboyante où patientaient déjà quelques personnes. Arrivée devant le caissier, Phoenix fut prise du syndrome du stress intense et commanda la première chose qui lui tomba sous la main à savoir un menu Maxi BestOf avec Big Mac... Lorsque la fille vu la chose arriver sur son plateau, elle crut faire une syncope mais se retint à temps pour payer. Elle resta ensuite quelques minutes immobile, ne sachant pas quoi faire jusqu'à ce que le caissier la prenne en pitié et lui explique qu'il fallait qu'elle prenne son plateau et aille s'assoir plus loin. Phoenix prit donc la chose rouge dans les mains et alla s'assoir le plus loin possible des gens : elle n'avait vraiment pas envie qu'on vienne la déranger dans sa tentative de rembourrage de ventre. Elle venait de disposer sa nourriture sur la table lorsqu'elle compris qu'elle n'arriverait jamais à tout manger : son corps s'était habitué à manger peu et mal puisque son majordome ne réussissait pas à faire quoi que ce soit de potable, mais là elle lui demandait de manger beaucoup et très, trop, gras. Phoenix soupira et croqua dans une frite d'un air non convaincu. Elle était encore en train de chercher comment elle allait bien pouvoir manger son Big Mac lorsqu'elle vit une ombre sur son repas. Sans même relever la tête, la jeune fille, qui n'était décidément pas dans son bon jour, dit :

- « Je n'ai pas envie de devoir supporter votre présence donc si vous pouviez avoir l'amabilité d'aller voir ailleurs, cela m’arrangerait grandement. »


Fiche : Mzlle Alice.
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Derek J. Snowhite
Derek J. Snowhite

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« Il y a des jours où je pense que je vais mourir d'une overdose d'autosatisfaction. » Salvador Dali
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Et la voilà partie à tirer des plans pour savoir comment arranger la chose. "Ce sera l'affaire du transporteur, songea-t-elle; ça fera drôle, d'envoyer des cadeaux à ses propres pieds! Et l'adresse, quel air bizarre elle aura! — Alice In Wonderland
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MessageSujet: Re: Comment ?! Il n'y a pas de sur-mesure chez H&M ?! [PV-Derek] Comment ?! Il n'y a pas de sur-mesure chez H&M ?! [PV-Derek] EmptyVen 18 Jan - 7:24

YOU WERE MY LADY !
Il se pourrait que je me sois attaché à toi finalement.



Il faisait beau ce week end-là. C’est sans doute cela qui expliquait le désire qu’avait eu Derek de sortir profiter de la foule quant bien même il ne supportait pas la présence aussi massive de ses semblables. Il ne comprenait pas l’envie que pouvait avoir certain d’aller en ville alors qu’elle était envahit par les touristes et les familles de milieux modestes qui venaient ici pour se montrer au grand jour et essayer de prouver qu’ils existaient, qu’ils avaient aussi leur place dans le monde. Le Samedi après-midi la ville devenait un milieu de pauvre et de personne modeste. C’était une chose tout à fait exécrable aux yeux de Derek qui y voyait là la traduction de la bassesse des instincts humains. Ces personnes se battaient pour une robe de mauvaise qualités, pour des sous-vêtements immondes, pour une table dans un café bon marché, ou pour des boites de papiers toilettes à bas prix. Lui, il visait les grands magasins où vous entrez en sachant déjà ce que vous cherchez, et où les vendeuses vous servent avec un sourire parfaitement hypocrite et fourbe en essayant de vous faire acheter le plus possible quitte à vous séchez jusqu’à la moelle de l’os. Il ne se laissait pas faire, mais il avait besoin d’une nouvelle chemise pour son uniforme. L’ancienne avait été brûlée par un majordome de première année, qui avait été incapable de faire une crème brûlée pour sa Lady en cours de cuisine. Derek avait voulu l’aider. Ca lui apprendra à vouloir aider son prochain et ses pairs. Il devait réapprendre à être égoïste.
Il avait du s’habiller avec des vêtements qui cachaient son rang, et son métier. Il portait une chemise noire, sous une veste en cuir, et un jean gris avec des chaussures de motards qui lui tenaient bien la cheville alors qu’il était parti pour marcher un bon moment ce jour-là. Il n’avait pas de devoir à faire, car il était bien en avance sur les autres. Il connaissait déjà son métier voilà tout. Il ne servait plus même une lady en particulier. Il vaguait de Lady en Lady, cherchant les plus chiantes pour passer le temps. Il les rendait folle puis partait sans demander son reste. Il se demanda si quelqu’un l’appréciait encore dans l’école. Même les professeurs n’étaient plus de son côté. Remarque ils ne l’avaient jamais été, et il n’avait jamais voulu qu’ils le soient. Il se fichait des professeurs. Il faisait sa vie sans qu’on ne lui demande rien. Et si comptait qu’on se mette sur son chemin il rendait la vie impossible à ses opposants. Pour s’amuser, pour se donner l’impression qu’il avait des choses à faire encore ici. Il avait essayé de négocier son départ de l’école avec son père en début d’année, mais son paternel voyait les choses plus loin que lui. Il était en présence des filles les plus riches du monde dans cet école. Les enfants de ministres, de directeur d’entreprise ou plus encore. Il ne doutait pas que quelques mafieux devaient se trouver à l’école. Il devait se faire des relations. Il devait se trouver une place glorieuse dans une de ces familles. Il le devait oui, mais il lui semblait faire encore son deuil.

Cela ne faisait pas même un an qu’il ne servait plus la famille Sullivan et sa douce Phoenix. Il appréciait Phoenix, parce qu’elle était une bonne lady. Une fille de bonne famille qui ne faisait pas de difficulté, plutôt classique. Qui n’avait pas un orgueil aussi surdéveloppé que le sien, et qui ne faisait pas vraiment d’histoire. Ils se comprenaient. Il arrivait à la contenter mieux que quiconque et il en était plutôt fier. Elle, elle n’avait jamais eu à redire à son comportement et elle le laissait être ou dire ce qu’il voulait. Il pouvait être ce qu’il voulait à ses côtés, cela lui manquait. A présent, les lady se plaignaient de ses blagues ou de son narcissisme. Elles exigeaient de lui qu’il soit moins imposant, qu’il apprenne à se taire. Qu’il ne soit qu’une plante verte ou une ombre derrière elle. Elles devaient garder toute la lumière sur elles. Fun. Alors il partait, sortait de la scène et leur laissait la pleine lumière. Ces lady ne comprenaient rien au rôle de leur majordome. Phoenix savait. Cela manquait plus que tout le reste à Derek. Phoenix savait qu’elle n’était pas une star et lui une vulgaire ombre. Ils étaient un duo, un couple, un seul être. Rien de plus. Si le majordome devait servir sa Lady du mieux possible, cette dernière devait protéger et aimer son majordome. C’était une relation qui fonctionnait dans les deux sens, pas dans un seul. Si le majordome devait être à la hauteur de sa lady, il en était de même pour elle. Elle ne pouvait pas être une diva. Elle devait avoir bien plus de classe que cela.

Il marchait dans la rue, quand il reconnut sa chevelure rousse. Il aurait pu la reconnaître entre mille. Il la vit entrer dans un magasin immense de vêtement qu’il ne connaissait pas vraiment, mais qu’il détestait déjà. Cependant, comme avant, il la suivit. Il resta loin, ne sachant si elle accepterait de le voir. Ils n’avaient plus le droit de se voir, ils ne faisaient plus parti du même monde, n’en déplaise à Derek qui ferait tout pour être revenu un an auparavant, quand ils faisaient des étincelles en cours. Leur couple avait les meilleures notes. Les meilleures appréciations. Il n’en était plus rien à présent. Elle s’arrêta devant une robe, simple mais jolie. Derek vit les larmes lui venir aux yeux. Elle lâcha le vêtement et sortie presque en courant, passant près de lui sans même le voir. Il resta sans bouger pendant un moment, fixant l’objet de son émotion. Il vint récupérer la robe d’une main assurée et sourit.
Quand il ressortie il l’avait perdu de vue. Il se mordit la lèvre, et continua son chemin, réfléchissant au lieu où elle pouvait être. Elle devait se trouvait là depuis un moment, et au vu de sa silhouette devenue frêle, elle devait avoir faim, et se trouvait dans un fast food infame pour pouvoir s’offrir quelque chose à son niveau à présent. Elle était pauvre. Il n’arrivait pas à s’y faire. Il entra dans un petit restaurant, seule preuve qu’il se trouvait encore des gens aisés dans cette rue. Il quémandait deux menus particuliers, à emporter. Suite à cela, il observa un batiment rouge et jaune face à lui, qui le répugnait. Peut être se trouvait-elle là-bas. Il ne l’espérait pas, mais il n’y avait pas beaucoup d’autre lieux pour manger à bas prix dans le coin. Alors, en apnée, il entra dans le lieu.

Ecoeuré, répugnant, immonde… les gens ingurgités des sandwichs hideux, et des frittes molles. Ils buvaient bruyamment dans des verres en papier, et ne prenaient pas la peine de respirer entre deux boucher. Pire… ils mangeaient avec les mains. Mais qu’était-ce donc que cet endroit ? Il avait du mal à imaginer sa douce Lady dans un tel endroit et pourtant… Il la trouva.
Je n'ai pas envie de devoir supporter votre présence donc si vous pouviez avoir l'amabilité d'aller voir ailleurs, cela m’arrangerait grandement.
Je vous proposerai plutôt d’aller voir ailleurs avec moi, car je doute que cette endroit vous sied véritablement.
Répondit-il du tact au tact, regardant autour de lui, apeuré à l’idée qu’une de ces créatures ne le touchent. Il paniquait. Il n’aimait pas la foule et il sentait l’angoisse l’envahir. Il était agoraphobe, et si souvent il arrivait à se contrôler, dans ce bruit et entouré de ces odeurs putrides ce n’était pas le cas. Il présenta son bras à la Lady, et sans qu’elle ne puisse vraiment réagir, il prit son plateau horrible, le jeta et la mena vers la sortie en moins de deux minutes. Une fois à l’air libre il prit une grande inspira.
Excusez mon empressement mais ce lieu est… terrible. Mais ne vous en faites pas je ne vous laisserai pas mourir de faim.
Il l’avait toujours vouvoyée. Parce qu’un majordome devait respecter sa Lady. Parce que c’était ainsi. Il lui présenta encore son bras et la mena dans un quoi plus vert et plus reculé où il se trouvait moins de monde. Une sorte de petit parc au milieu des magasins, où un banc libre leur tendait les bras. Il la fit s’asseoir et lui présenta le sac avec son repas. Un petit-déjeuner chinois lui sierra sans doute bien mieux qu’un … Macdo.
Oh ! et vous avez oublié cela me semble-t-il.
Dit-il en lui présentant le sac H&M qui contenez la robe qu’elle avait admiré.
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